Sep 17, 2020
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Comment faire une matrice décisionnelle

Written by Seb
Temps de lecture estimé : 7 minutes

Comment faire une matrice décisionnelle

Depuis quelques temps, je me pose sérieusement des questions sur mon avenir professionnel. Je sens bien que quelque chose ne va pas dans ma situation actuelle. Je vais utiliser une matrice décisionnelle pour essayer de m’aider à prendre une décision.

J’ai d’ailleurs fait un petit travail d’introspection pendant mes vacances, je vous en parlais ici.

Un ami m’a sorti dernièrement une phrase très philosophique pendant l’apéro, qui m’a fait réfléchir :
Il a dit : « La vie, c’est la famille et le boulot. » – ceci est très vrai, quand on n’est pas au boulot, on est en général avec sa famille. Et vice-versa.
Et il a continué par : « Si un des deux ne te satisfait pas, il faut envisager de le changer. ».

J’ai bien entendu toujours comme objectif de prendre ma « retraite » et de ne plus dépendre d’un patron à 45 ans. Mais avant d’y arriver j’ai encore quelques années à travailler, et besoin de trouver un bon équilibre professionnel.

3 options

En fait, pour être tout à fait honnête, j’hésite entre 3 options, qui sont :

  • Ne pas changer de job, rester chez mon employeur actuel;
  • Devenir agent immobilier;
  • Développer ma société immobilière et devenir entrepreneur à 100%.

Vous le voyez, à 40 ans je me pose la question d’un changement de carrière. Est-ce que c’est ça la fameuse crise de la quarantaine ? 🙂

Avantages et ses inconvénients

Chacune de ces options a ses avantages et ses inconvénients.

Je vais vous détailler un peu tout ça, avant de transposer le tout dans un outil managérial :

1. Ne pas changer de job, rester chez mon employeur actuel

Ce job comme développeur me plaît de moins en moins, et le fait d’être au service et sous les ordre de quelqu’un commence à me déranger sérieusement.

Finalement, et après en avoir discuté avec ma femme, je remarque que ça fait gentiment plusieurs années que cette situation ne me convient plus trop. Il va donc falloir prendre le taureau par les cornes et prendre son destin en mains.

Rester dans cette situation est donc une option de moins en moins envisageable pour le futur. Je la compte quand même car c’est la situation actuelle, mais je sais qu’elle ne va pas pouvoir durer encore très longtemps.

Avantages

– Des avantages sociaux pour moi et ma famille.

– Un lieu de travail à 10 minutes de mon domicile, me permettant de rentrer en famille à midi.

– Un salaire qui tombe tous les mois, et qui fait partie intégrante mon plan actuel.

– Des collègues super et une bonne ambiance globale.

– Des horaires réguliers.

Inconvénients

– Des technologies qu’il faut toujours apprendre et ré-apprendre sans cesse, consommant une énergie folle.

– Un/des supérieurs toujours derrière.

– Un nombre d’heures à respecter, quitte à en arriver dans le présentéisme.

– Devoir toujours justifier ses actes, le temps passé sur tel ou tel projet, pourquoi on a fait comme-ci et pas comme-ça, etc.

– Une boîte qui ne cherche qu’à accroître sa rentabilité et ne tient plus compte de l’humain. Je comprends bien le principe de vouloir accroître sa rentabilité, mais je préfère accroître la mienne plutôt que celle de quelqu’un d’autre.

– Recherche de performance maximum, pression permanente sur les employés.

– Une divergence de point de vue entre la « mission » de l’entreprise et mes propres objectifs.

– Le fait de sentir de plus en plus qu’on ne sert qu’à faire gagner plus d’argent à quelqu’un d’autre. En y réfléchissant bien, dans le fond on n’est que des leviers pour les actionnaires. D’où : il faut passer du côté droit du cadran du cashflow.

– Un revenu plafonné, me limitant dans la vitesse d’atteinte de mon objectif final.

– Le risque de se faire licencier si mes performances ne satisfont plus la machine en place. Vu mon manque de motivation et d’implication, ça pourrait arriver plus rapidement que prévu… 🙂 Au moins je serai prévenu.

– Aucune liberté/indépendance.

La rat race quoi 🙂

2. Devenir agent immobilier

Dans mon article sur le bon vs le mauvais agent immobilier, je vous expliquais comment je voyais un bon agent immobilier.

Hé bien figurez-vous que je suis pote avec le patron d’un agence immobilière qui cartonne en Valais.

Je lui ai lancé un coup de fil dernièrement en lui expliquant que j’envisageai un changement de carrière. J’en ai profité pour lui demander si il était d’accord de m’engager comme agent immobilier et on s’est rencontrés pour en discuter.

On ne vit plus dans le même monde les deux : lui il brasse des millions à à peine 35 ans, et joue avec des Maserati et des Ferrari (oui oui, des vraies). Moi à 40 ans j’en suis encore à me plaindre que ma voiture me coûte 3’300 chf en réparation 🙂

Mais j’ai un grand avantage : on a fait du sport ensemble. En général, quand tu te retrouves sous la douche avec un autre type, ça délie les langues et crée des liens 🙂 On peut donc discuter de tout et sans tabous et c’est ce qu’on fait à chaque fois qu’on se voit.

Après discussion donc, il serait ok de me laisser une chance. Pas tout de suite, mais dans un futur assez proche, courant 1er semestre 2021.

Je pense que mes connaissances au sujet de l’immobilier sont indéniables et que je pourrais acquérir les compétences manquantes (prospection/vente) assez rapidement.

Avantages

– Pas d’horaire. C’est un genre de semi-entrepreneuriat ou chacun s’organise comme il veut, mais doit atteindre des objectifs.

– Une partie de la rémunération est fixe et une partie est une commission sur les ventes. La rémunération est en partie basée sur les performances, ce que j’estime légitime pour un métier de vente.

– Voiture de fonction.

– Un revenu pouvant être plus élevé, si les performances sont bonnes.

– Apprendre un nouveau métier, soutenu par des professionnels expérimentés.

– Un attrait et un intérêt réel pour ce métier.

Inconvénients

– Aucun avantage social pour moi ou ma famille.

– Toujours être l’employé de quelqu’un, soumis à des objectifs fixés par quelqu’un d’autre.

– Une rémunération basée sur les performances; pas de performance = peu de revenu. Au début c’est souvent difficile, m’a prévenu mon pote le boss, car il faut du temps pour se constituer un carnet d’adresse. Mais j’ai le contact facile et ça ne m’impressionne pas trop.

– Une bonne partie des rendez-vous a lieu en dehors de heures de bureau, la vie de famille qui peut en souffrir.

3. Développer ma société immobilière et devenir entrepreneur à 100%

L’entrepreneuriat, je vois ça un peu comme un graal. Je peux dire que c’est un peu mon objectif ultime.

D’ailleurs, quand je parle de ma future retraite à 45 ans, je ne serai rien d’autre qu’un employé de ma propre société. Un entrepreneur donc.

Mon problème aujourd’hui, c’est que j’ai peur de me lancer. J’ai toujours cette barrière psychologique qui me dit « et si ça ne marche pas, qu’est-ce qu’il se passera ? ».

Questions à ceux qui auraient surmonté cette barrière, c’est quoi votre truc ? 🙂

Avantages

– La possibilité d’avoir des employés et de les faire travailler pour moi (et non plus l’inverse). Etre celui qui actionne le levier, et non plus celui qui se fait balancer. Profiter des avantages du côté droit du cadran du cashflow.

– L’indépendance organisationnelle d’un tel poste (horaires, vacances, etc.).

– Ne devoir rendre de comptes à personne d’autre que moi-même.

– Aucun plafond salarial.

– Pouvoir mettre à l’abri du besoin toute ma famille.

Inconvénients

– Manque de connaissance de toutes les facettes du métier à proprement parler.

– Un risque très élevé d’échec.

– Un travail demandant beaucoup d’efforts et de temps, en tout cas au début.

– La vie de famille qui peut en pâtir.

Bref, comme vous pouvez l’imaginer, j’ai pas mal de choses en tête et parfois quelques insomnies 🙂

La matrice décisionnelle

Si vous me suivez depuis longtemps, vous le savez, j’aime bien quantifier les choses. Les chiffres me parlent.

Pour m’aider dans les questions que je me pose et les conséquences qui en découleront, j’ai décidé d’utiliser un outil de management.

Cet outil, c’est ce qu’on appelle la matrice décisionnelle. C’est en fait un tableau qui permet de quantifier et de pondérer des choses, dans un but d’aide à la décision.

Je vais vous montrer comment faire une matrice décisionnelle, au cas où vous en auriez également besoin.

Mise en place

Pour commencer, on va prendre notre tableur préféré. Excel ou Google Sheets vont très bien pour ça. Je vais utiliser Google Sheets pour cet exemple, et vous le mettrai à disposition.

Je suis sûr que Google Sheets propose même des modèles de matrices décisionnelles, mais moi je vais faire la mienne, j’aime bien faire ça 🙂

On note dans les colonnes les options qu’on a, ici je vais noter les 3 options professionnelles que j’envisage :

matrice decisionnelle 1

Les critères

Ensuite dans les lignes en dessus des colonnes, on va noter les critères qu’on veut évaluer.

Ces critères sont personnels et seront différents pour chaque personne. C’est logique, chacun a sa manière de voir les choses, c’est ce qu’on appelle la carte du monde en hypnose 😉

Par exemple : Monsieur A voudra noter le goût du café chez un employeur E alors que Monsieur B s’en foutra mais voudra noter la qualité des chaises de bureau… vous voyez le principe 🙂

Voici donc les critères que je vais évaluer :

matrice decisionnelle 2

Pondération

En dessous des critères, on va mettre la pondération qu’on veut allouer à ce critère.

Dans mon cas par exemple, j’estime que c’est plus important d’avoir un job « passionnant » que des avantages sociaux. Je mets donc une pondération plus importante à ce critère.

Par avantages sociaux je parle de rabais dans des magasins ou autre, des formations offertes, etc.

Mettez des pondérations en 1 et 5 au maximum, pas plus. 1 si ça compte un peu mais pas trop, 5 si c’est une chose hyper importante pour vous.

A noter qu’il est également possible de mettre des notes négatives.

Ici par exemple, je note le risque. Plus ce risque est élevé (entrepreneuriat), plus l’option doit perdre de l’intérêt.

Mais au lieu de l’appeler « risque » et de mettre une note négative, j’aurai pu l’appeler « sécurité de l’emploi » et donner une pondération positive… Ça revient au même au final.

Voilà ce que ça donne pour moi :

matrice decisionnelle 3

Noter les options et les critères

Une fois que la matrice décisionnelle est en place, il ne reste plus qu’à attribuer des notes à chaque poste.

Voici les notes que j’ai décidé de donner :

matrice decisionnelle 4

Faire les comptes

Dernière étape de la matrice décisionnelle, faire des maths !

A côté de chaque note qu’on a mise, on va faire une multiplication de cette note par la pondération du critère. On aura ainsi un total par critère de l’option.

matrice decisionnelle 5

Et à la fin de chaque ligne, on va simplement additionner ces totaux pour avoir notre résultat final. La ligne qui a le plus grand nombre est l’option à envisager.

Dans mon cas donc :

matrice decisionnelle 6

Voici le résultat que j’obtiens, à moi maintenant de l’utiliser à bon escient.

Je vous avoue que ça ne m’arrange pas trop car le choix qui ressort est le premier, donc garder mon emploi actuel. Et comme je l’ai dit plus haut, cette solution n’est pas envisageable à long terme.

Vous verriez des critères à ajouter ou à enlever dans cette matrice ?

Et vous, quels seraient les critères que vous noteriez ?

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Etat d'esprit · Journal

Commentaires sur Comment faire une matrice décisionnelle

5 réponses à “Comment faire une matrice décisionnelle”

  1. Anis dit :

    Salut Seb,

    C’est important de se poser ce genre de questions, c’est nos décisions qui influencent nos vies

    Personnellement, je te conseil l’entrepreneuriat. Pas si risqué et chronophage que ça puisse paraître (essaie le livre la semaine de 4 heures de Timothy Feriss). Pour moi le plus grand risque de la vie, n’est pas d’entreprendre, mais de passer sa vie esclave d’un patron. Tu auras surement des échecs dans ton parcours d’entrepreneur, commencer ne sera surement pas facile, mais le jeu en vaut laaaaaaaaargement la chandelle.

    Pour se donner un exemple, Jeff Bezos était vice-président d’une banque spéculative de Wall Street, il a abandonné un poste avec un très haut salaire de très gros avantages et une sécurité de l’emploi solide. Il a tout quitté pour lancer une librairie en ligne depuis son garage. Si on raconte son histoire sans en révéler la fin, on pourrait se dire que cet homme est complètement fou et qu’il n’a surement rien réussi (on sait que la vérité est très différente, aujourd’hui ce même homme a été le premier privé à envoyer des fusées dans l’espace et dépasser les 100 milliards de fortune nette).

    En réalité l’échec dans entrepreneuriat n’existe pas, soit on gagne, soit on apprend pour la prochaine fois. Et quand tu vies de ta passion, tu ne travailles pas car ton cerveau se sent libre.

    Crois en toi et n’attend plus Seb, commence dès aujourd’hui à mettre en place des actions qui te permettront de sortir de la rat race.

    Si tu cherches des livres sur entrepreneuriat, je te conseille vivement « Le personal MBA » de Josh Kaufmann (un génie cet homme) , « Hooked » de Nir Eyal, « Lean Startup » de Eric Riyes, et peut-etre pour finir « Libérez votre cerveau » de Idriss Aberkane.

    Bonne chance Seb et ne lâche rien.

    Anis

    • Seb dit :

      Salut Anis,

      Merci de ton commentaire et pour ton soutien indéfectible, j’apprécie vraiment 🙂

      J’ai déjà lu la semaine de 4 heures, j’ai adoré ce livre d’ailleurs. J’ai eu de la chance, car c’est un des premiers que j’ai lu et je suis bien content d’être tombé dessus par hasard, à l’époque où je ne savais pas encore où j’allais. Ca me donne envie de le relire, ça va me donner un petit coup de boost 😉

      L’exemple Jeff Bezos est sympa, mais c’est bien différent, parce que lui a inventé un truc révolutionnaire, il a changé le monde. Amazon et même ce business model n’existaient pas à l’époque et il les a créés. Je pense d’ailleurs que le Personal MBA s’inspire de pas mal d’enseignements tirés de M. Bezos et de ce qu’il a créé de toute pièce.

      Moi j’en suis pas là 🙂 J’avoue que j’ai cherché pendant une bonne dizaine d’année l’idée qui aurait un succès comme Amazon ou Facebook, sans jamais l’avoir trouvée. Mais surtout en ayant compris que ce n’était pas en la cherchant que j’allais la trouver, qu’il fallait que ça vienne autrement.

      Mais sinon je suis 100% d’accord avec toi et tout ce que tu dis.

      Le seul petit soucis dans cette réflexion, ce n’est pas le manque de motivation, je peux te garantir qu’elle est au taquet. C’est surtout la peur de me retrouver à ne pas pouvoir assumer les besoins de ma famille, par manque de rentrée d’argent. Tu vois le truc…

      Mais en parallèle à ça, je mets gentiment en place des actions qui influenceront mon futur, qu’il soit d’entrepreneur ou d’investisseur, voire des deux 😉 Je dois d’ailleurs passer un coup de fil dans les minutes qui suivent afin de tenter de concrétiser un projet intéressant… Un article devrait suivre rapidement 🙂

      Merci encore Anis, au plaisir de te relire !

      Seb

      • Anis dit :

        C’est clair que Bezos est un extrême, mais c’est un modèle en terme d’entreprenariat et de prise de risque. Les idées révolutionnaires ne sont malheureusement pas données à tous.

        Je me rends compte que nos situations sont différentes. J’avais pas calculé le problème de la famille, et je le comprends totalement. Peut-être alors que tu devrais penser à une autre idée de business que tu pourrais lancer en parallèle de ton activité actuelle histoire de démarrer avec une certaine sécurité.
        Tu sais des fois les bonnes idées ne sont pas très loin. Pas besoin que ce soie le prochain Amazon. Y a t’il par exemple quelque chose que les informaticiens sont obligés de faire mais qui ne leur fait pas plaisir ? Si tu ne trouves pas de réponse pour les informaticiens, alors peut être pour les investisseurs immobiliers ? Ou les professeurs, ou les parents en général (en référence à mon mail 😉 ) Tu peux remplacer le mot informaticien par n’importe quel autre. Est-il possible d’automatiser cette action par un procédé qui demande un peu de recherches? Si toi-même tu es prêt à payer pour que quelqu’un fasse cette action à ta place, c’est bingo! Je suis certain que tu peux trouver au moins une réponse, l’idée du prochain business d’avenir est peut-être là!

        Ah mais je suis sûr que tes actions porteront leurs fruits, la puissance des intérêts composés fait que l’accumulation des petites actions donne de grands résultats! D’ailleurs, ne pense pas que j’essaie de te faire la leçon, tu es déjà bien plus avancé sur le chemin de la liberté que moi.
        J’espère que le coup de fil c’est bien passé !! J’ai hâte de savoir ce que ca concernait.

        Au plaisir de te lire.

        Anis

  2. Seb dit :

    Hello Anis,

    C’est clair Bezos est un modèle. Elon Musk aussi je pense (tu as lu sa bio?), tout comme Steve Jobs. Mais non; les idées révolutionnaires ne sont pas données à tout le monde malheureusement 🙂

    Et oui comme tu le vois quand on a une famille c’est différent 🙂 il faut bien se rendre compte que dès que tu as enfants, ton argent n’est plus complètement à toi, et d’autres personnes dépendent de toi. Mais ça joue, c’est un pur bonheur à part ça 🙂

    Elle est pas mal ta méthode sur le fait de chercher un moyen de simplifier les choses (ça vient d’un livre non? L’autoroute du millionnaire?). En tout cas je l’utilise depuis quelques temps déjà, j’essaie de trouver des « failles » qui pourraient aider les agents immobiliers en l’occurrence, c’est pour ça que je suis souvent en contact avec mon pote le boss de l’agence.

    Malheureusement je me rends compte que je ne connais pas assez le business et le travail au quotidien pour savoir ce qui pourrait réellement leur faire gagner du temps. Et beaucoup de choses existent déjà. Mais je suis en train de réfléchir à une chose qui utiliserait mes compétences d’investisseur et celles de développement, y a moyen de faire quelque chose de pas mal je pense 🙂

    Sinon oui le coup de fil s’est très très bien passé, suite la semaine prochaine car je dois rencontrer mon interlocuteur en début de semaine (je fais durer le suspens ;))

    Bon week end Anis, au plaisir!

  3. Anis dit :

    Oui, Elon Musk est aussi le seul génie à avoir crée 3 sociétés valant chacune plus d’un milliard c’est fou!
    Ca vient d’un livre mais je ne sais plus lequel, c’est une idée que j’ai lu plusieurs fois d’ailleurs! Un conseil qui revient souvent de la part des plus gros entrepreneurs. Des fois, quelqu’un exploite déjà l’idée, mais son système pourrait être fortement amélioré, c’est ce qu’a fait google avec les moteurs de recherche ou Facebook.
    En tout cas je suis carrément certain que ca finira par te tomber dessus, t’as déjà mis ton cerveau en condition pour répondre à la question et le reste n’est qu’une question de temps.

    J’espère que la suite va se dérouler comme prévu, j’imagine déjà plus ou moins ce que ca sera ^.^

    Bon week-end à toi aussi Seb.

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